Activité récente
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le 13 Mai 2025
Est-il possible de devenir chef de projet si j'ai un diplôme en ingénierie civile ou en ingénierie de construction ?
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Est-il possible de devenir chef de projet si j'ai un diplôme en ingénierie civile ou en ingénierie de construction ?
le 16 Mai 2025En fait, je n'ai pas d'idées précises concernant le type de boîte ou de chantier, je suis ouverte à pas mal de choses. C'est plus pour me donner un maximum de chances et de ne pas me fermer de portes trop vite. Mais si tu as des suggestions de certifs plus ciblées, je suis preneuse !Quelles sont les étapes essentielles pour entretenir correctement une piscine ?
le 18 Mai 2025Excellent !Est-il possible de devenir chef de projet si j'ai un diplôme en ingénierie civile ou en ingénierie de construction ?
le 20 Mai 2025Si je récapépitule rapidement, on a vu que ton diplôme d'ingé t'ouvre les portes, mais qu'il faut viser des certifications (PMP, Prince2, BIM...), se faire de l'expérience sur le terrain et que les MOOC peuvent être une bonne option pour démarrer. On insiste pas mal sur le fait de bien cibler les formations BTP. Voilà. 😉Quelles sont les caractéristiques d'une plaque de sol pour poêle, son utilité, et quelles normes d'installation doivent être suivies ?
le 26 Mai 2025Harmonia, l'histoire des stats clients, c'est un autre débat, mais ça pourrait être intéressant d'ouvrir un fil dédié, je pense que pas mal de monde serait intéressé. Mais pour revenir au sujet de la plaque et de la conductivité de l'acier, je plussoie l'idée de la sous-couche isolante. AstroPulse31 a raison de soulever ce point, même si l'acier émaillé est un bon compromis en général. La conductivité thermique de l'acier est d'environ 50 W/m.K, ce qui est quand même assez élevé. Si tu as un parquet en bois sensible en dessous, ou des meubles inflammables à proximité, ça peut vite devenir problématique. Le DTU 24.1 P1 (si vous voulez vérifier, c'est la norme NF DTU 24.1 P1 "Travaux de fumisterie – Conception, dimensionnement et mise en œuvre") donne des indications claires sur les distances de sécurité à respecter en fonction de la température de surface des parois. Même si la plaque n'atteint pas des températures extrêmes, une sous-couche permet de réduire significativement le transfert de chaleur. On peut tabler sur une réduction de 20 à 30% du flux thermique avec un isolant adapté, ce qui n'est pas négligeable. Et pour aller plus loin, il faudrait aussi tenir compte du type de poêle. Un poêle à bois classique a un rayonnement thermique différent d'un poêle à granulés, par exemple. La température de surface du poêle lui-même est aussi un facteur à considérer. Certains modèles peuvent atteindre des températures très élevées, ce qui augmente d'autant le risque de surchauffe de la plaque de sol. Donc, sous-couche obligatoire, à mon avis. Autant prévenir que devoir refaire tout le sol après un incident.Quel type d'isolant phonique naturel recommandez-vous pour un plancher en bois ?
le 03 Juin 2025Ce que dit Mamadou est loin d'être idiot. Combiner plusieurs isolants, c'est une approche qui a du sens, en particulier dans le domaine de l'acoustique où les problématiques sont rarement mono-factorielles. L'idée d'un matériau souple couplé à un matériau dense, c'est un peu le principe masse-ressort-masse qu'on retrouve dans pas mal de solutions d'isolation performantes. Dans le cas de Bernard97, si le liège en granulés montre des signes de faiblesse à long terme, une couche de laine de bois en panneaux pourrait effectivement apporter un complément intéressant. Mais attention au poids ! C'est une donnée à ne surtout pas négliger, surtout si le plancher existant est déjà un peu limite. Un plancher qui s'affaisse, c'est le genre de désagrément qu'on préfère éviter... En tant qu'architecte, j'aurais tendance à privilégier une approche globale dès le départ. Avant de se lancer dans des solutions partielles, il faut faire une analyse précise des sources de bruit et des modes de transmission. Bruits aériens ? Bruits d'impact ? Vibrations ? Chaque type de bruit nécessite une approche spécifique. Pour les bruits d'impact, comme les pas, le liège en granulés peut avoir un effet limité si la densité n'est pas suffisante et si le tassement est trop important. Dans ce cas, il faudrait peut-être envisager une membrane résiliente sous le revêtement de sol, en complément de l'isolation entre les solives. Ça permettrait de désolidariser le plancher et de réduire la transmission des vibrations. Et concernant l'isolation par le haut ou par le bas, Mamadou a raison, c'est une question cruciale. L'isolation par le haut est souvent plus simple à mettre en œuvre, mais elle peut poser des problèmes de surcharge du plancher. L'isolation par le bas est plus complexe, mais elle permet de mieux maîtriser les performances acoustiques et de limiter les contraintes sur la structure existante. Tout est histoire de compromis... En résumé, avant de prendre une décision, il faut : 1) identifier les sources de bruit, 2) évaluer les performances acoustiques des différents matériaux, 3) vérifier la compatibilité avec la structure existante, et 4) ne pas négliger le facteur poids. Et surtout, ne pas hésiter à faire appel à un acousticien pour avoir un diagnostic précis et des recommandations adaptées. C'est un investissement qui peut s'avérer très rentable à long terme.
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